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HARENG ROUGE

Théatre de Création

Le Théâtre Hareng rouge a pour mission de présenter des spectacles de création sans compromis.

Fortement axée sur une prise de parole forte, dynamique et solidement ancrée dans le réel, la compagnie propose des histoires poétiques et dépaysantes qui font voyager, réfléchir et émouvoir un public d’ici et de maintenant à la recherche de singularité et d’évasion.

Spectacle

Japon

Route

Sur les traces des auteurs de la Beat Generation et de la contre-culture américaine des années 60, Route est une errance en forme d’enquête dans les rues en pente de San Francisco, du pont du Golden Gate aux montagnes Twin Peaks, en passant par les petites librairies de North Beach et les maisons multicolores de Haight-Ashbury. Voyage au coeur du mal de vivre d’un jeune homme en perte de sens et de repères, Route est un spectacle sur l’identité, la liberté et la difficulté d’aimer et d’être soi dans le monde d’aujourd’hui.

Loin

Trilogie qui traverse le temps et le siècle, ce spectacle-fleuve suit le parcours d’un découpage technique laissé inachevé par le maître du suspense Alfred Hitchcock qui s’intitule Loin. On suit d’abord l’enfance difficile et solitaire d’Hitchcock à la campagne, sa venue à la ville chez son oncle ingénieur pendant la guerre et ses premiers pas comme assistant-réalisateur. Bien des années plus tard, on retrouve Mathias, jeune cinéaste expérimental angoissé qui tente de calmer ses troubles obsessionnels compulsifs en terminant le découpage de Loin, et ensuite David, réalisateur surréaliste qui fait passer une audition inquiétante à une jeune comédienne qui ressemble étrangement à sa femme.

Lumières

Grand voyageur qui a vécu en Europe et en Afrique du Nord, Lyman va revenir sur son parcours et sur son art en les mettant en parallèle avec l’oeuvre et la vie de ses deux maîtres à penser : James Wilson Morrice et Henri Matisse. Sous forme de propos et de réflexions sur l’art moderne, Lumières nous fait revivre un siècle de peinture, des Impressionnistes aux Fauves, en passant par le Groupe des sept, les Plasticiens et les Automatistes, afin de nous questionner sur le rôle des couleurs et de la lumière dans notre manière de percevoir le monde.

S’aimer

Un artiste photographe de Québec se donne pour mission de savoir pourquoi et comment le poète québécois Hector de Saint-Denys Garneau est mort mystérieusement à l’âge de 31 ans sur le bord de la rivière Jacques-Cartier. À travers une quête dans les rues de Québec à la recherche d’une lettre d’amour que De Saint-Denys Garneau aurait écrite à une femme qu’il n’a jamais su aimer, le jeune photographe tente de régler le problème qu’il vit lui-même avec l’amour et avec l’estime de soi.

Basse-Ville

Deux amies dans la vingtaine, l’une caissière dans un supermarché, l’autre serveuse à la recherche d’un emploi. La première est simple, drôle, authentique. La seconde est insatiable, pessimiste, fataliste. Après une soirée arrosée à « clubber », l’une d’elles rencontre un garagiste beauceron. S’amorce alors un lendemain de veille entre ces trois jeunes âmes écorchées habitant la Basse-Ville de Québec. Dans Basse-Ville, le spectateur suit le trajet d’un trio improbable dans les rues de Québec, nous faisant découvrir une facette de la ville qui n’a rien à voir avec les images de cartes postales du Château Frontenac et du Petit Champlain. On y découvre ce qui se cache derrière elles : les inégalités des classes sociales, la détresse et la solitude d’une jeunesse en proie à l’ennui.

Old-Orchard

Thomas Gionet-Lavigne aborde, sans détour ni artifice, plusieurs questionnements sur la difficulté d’aimer, de communiquer et d’entrer véritablement en relation avec l’autre. Dans la société actuelle, les choix multiples qui s’offrent à nous – en amour comme ailleurs – donnent-ils lieu à une quête perpétuelle de la perfection, à des doutes sans issue? Comment savoir si notre vie nous ressemble? Pourquoi choisir d’effleurer sa propre existence, plutôt que de s’y ancrer réellement, au risque de se tromper? Éric et Philippe, l’un travailleur social et l’autre comptable, tous deux célibataires dans la trentaine, passent la fin de semaine à Old Orchard. Ils rencontrent Marie-Pascale, policière, et Annie, propriétaire d’un restaurant. Les quatre comparses se plaisent et multiplient les discussions animées, confrontant leurs visions du monde, échangeant sur leurs désirs mutuels, leurs attentes déçues, leurs espoirs à la fois ordinaires et titanesques. Mais qu’adviendra-t-il d’eux, une fois disparus le bord de mer et la fougue du premier regard?

Basse-Ville Bordée

Deux amies dans la vingtaine, l’une caissière dans un supermarché, l’autre serveuse à la recherche d’un emploi. La première est simple, drôle, authentique. La seconde est insatiable, pessimiste, fataliste. Après une soirée arrosée à « clubber », l’une d’elles rencontre un garagiste beauceron. S’amorce alors un lendemain de veille entre ces trois jeunes âmes écorchées habitant la Basse-Ville de Québec. Dans Basse-Ville, le spectateur suit le trajet d’un trio improbable dans les rues de Québec, nous faisant découvrir une facette de la ville qui n’a rien à voir avec les images de cartes postales du Château Frontenac et du Petit Champlain. On y découvre ce qui se cache derrière elles : les inégalités des classes sociales, la détresse et la solitude d’une jeunesse en proie à l’ennui.